Les Allées du Roi
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 Luela Alfarez Segura

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Luela Alfarez Segura
Courtisane
Luela Alfarez Segura


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Date d'inscription : 18/07/2009

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MessageSujet: Luela Alfarez Segura   Luela Alfarez Segura Icon_minitimeSam 18 Juil - 21:12

Identité


  • Nom : Alfarez (nom de famille de son père) Segura (nom de famille de sa mère)
  • Prénom(s) : Luela Trinidad
  • Sobriquet : l'Espagnole mais à la vérité, nombreuses sont celles qui portent ce surnom, car dès qu'un accent ensoleillé se fait entendre, les Nobles ne cherchent pas l'origine de ces sonorités latines.

  • Âge : 25 ans
  • Origine : Espagnole, elle est née Huelva
  • Rang : Gitan
  • Profession : Courtisane
  • Parti : Royaliste

    Physique


  • Yeux : Brun plutôt clair, les iris de Luela sont chocolat et tendent souvent à s'éclaircir, si le soleil veut bien se montrer sur la Cour des Miracles. En forme d'amande, ses yeux sont encadrés de longs cils et d'épais sourcils d'un noir de jais.
  • Cheveux : Les cheveux de la Gitane sont d'un noir d'encre, profond et brillant, et elle les garde longs depuis son enfance. Ils arrivent aujourd'hui environ au milieu de son dos et elle prend soin de les peigner avec élégance, comme l'exige sa profession. Car la propreté fait souvent la différence entre les vulgaires filles de joie des Courtisane dont elle fait partie.
  • Taille/Poids : Plutôt petite, Luela bénéficie cependant d'un bon mètre soixante et la maigreur qu'elle a subit durant son enfance est désormais dépassée : elle atteste de quelque 53 kilos. Les puristes d'aujourd'hui penseront peut être qu'elle souffre de trois ou quatre kilos en trop, cependant, pour l'époque, Luela offre une corpulence qui en fait fantasmer plus d'un.

  • Description physique : Luela est une femme du Sud. Un simple regard vous le dira : ses cheveux noirs et son teint mate, comme son regard brun offre un tableau qui appelle le soleil de l'Espagne et la chaleur latine qu'on connait aux femmes de la péninsule. Sa stature est droite et la première impression que l'on a de cette femme est qu'elle présente les allures nobles et fières des andalous. La seconde chose qui saute aux yeux est une bouche charnue aux lèvres paraissant tendres, d'un brun plus rosé, où une moue semble persister. Associé à des yeux à l'expression souvent déterminée et digne, Luela apparaît comme quelqu'un de racé et d'attirant, bien que ce charme soit tout à fait changeant selon la personne qui la regarde.
    On ne peut nier cependant que son corps aux formes féminines présentent de nombreux attraits, comme une taille marqué et des hanches généreuses et un buste droit formant des courbes audacieuses mais en harmonie.
  • Particularités :
  • Signe distinctif : Une immense cicatrice lacère son ventre, partant de son flanc gauche jusqu'à sa hanche droite et barre son nombril qui s'en trouve amoché. C'est sa plus grande honte et vous comprendrez ainsi qu'elle ne montre cette partie de son corps qu'à de rares clients fortunés. Elle souffle d'ailleurs de temps à autres, lors d'efforts continues et intenses, de douleurs qu'elle ne sait expliquer et dont elle n'a jamais parlé.

    Mental


  • Qualités : Luela est une femme digne et droite. Malgré sa condition, elle s'est toujours efforcée de respecter le code d'honneur des Gitans, certes entaché et propre à ce peuple, mais en gardant toujours à l'esprit qu'elle doit montrer d'elle une image juste et noble. Les dispersions de ses congénères, salissant leur nom et leur race, la rendent désireuse d'apporter aux Nobles comme aux Vas-Nus-Pieds une vérité plus attrayante : celle d'un peuple chaleureux et fier, vivant pour la liberté et l'amour. Car elle possède de nombreuses valeurs, encrées en elle depuis son enfance, quelle chérie avec ferveur. L'amour de sa famille et de ses origines, de son pays aussi, l'évocation de l'Andalousie lui soutirant souvent quelques larmes nostalgiques. C'est une femme mâture et généreuse, à l'image de ses formes délicieuses : elle aime donner et offrir, mais on décèle parfois une simple envie d'être reconnue. Mais il ne faut pas se méprendre, car toutes ses qualités ont des reflets bien moins plaisants, qui la rendent souvent critiquées...
  • Défauts :... Car Luela est une femme qui semble ne jamais agir gratuitement. Et on soupçonne souvent sa générosité d'être intéressée, dans le but d'être appréciée ou d'acheter son bénéficiaire. Naturellement, elle a une autre estime d'elle même, et elle cherche par tous moyens à monter dans la hiérarchie, si peu élogieuse soit-elle chez les Prostituées. Cependant, elle entrera dans une rage folle si vous osez lui indiquer que c'est une Fille de Joie, et elle proclame son rang de Courtisane, jusqu'à cracher sur ces demoiselles si peu vertueuses. A la vérité, elle exerce le même métier, mais Luela estime que ses affaires sont bien plus élégantes que celles de ses semblables. Orgueilleuse, voici un défaut dont elle fait preuve de nombreuses fois, tout comme l'avidité et la gourmandise... Ne sachant résister ni à l'or ni à quelques douceurs sucrées, la Gitane serait amenée à perdre toute convenance afin d'obtenir quelques trésors de ces sortes. Bien faible devant ces pêchers, Luela entre dans des crises de rage féroce lorsqu'elle se rend compte qu'elle n'a su résister, au point d'en être violente et aveugle.
  • Goûts, intérêts, passions : On dit souvent qu'il n'y a que l'or qui plait à l'Espagnole, qu'elle peut se vendre au plus offrant pourvu qu'on lui montre un trésor, des parures ou des dentelles. On dit qu'elle est amoureuse du luxe et qu'elle négocie ses charmes avec soin et professionnalisme. Et tous ces dires sont exacts. Ses deux pêchers sont donc la Luxure et la Gourmandise, l'un n'étant qu'un moyen : pour réussir elle se sert de ce que la nature lui a offert, et n'a-t-on jamais trouvé meilleur appas du gain que des formes appétissantes ? Le second est un véritable vice, un goût prononcé pour le sucre, les pâtisseries ou de simples fruits, la gourmandise est son pire ennemi et sa véritable compagnie, sa folie. Elle aime ce qui est bon, ce qui est doux, ce qui est fruité. Elle dément être vénale, se justifiant en signifiant qu'elle aime simplement les belles choses.
    A vrai dire, son plus grand souhait est d'être plus que ce qu'elle est. Une Espagnole née d'une femme de chambre, elle veut le meilleur désormais, et sait comment y parvenir. Elle ne renie pas ses origines juste... qu'elle souhaite s'élever dans la société. Elle songe peut être que, par sa réussite, tout le peuple Gitan s'élèvera avec elle.
  • Particularités : Elle ne sait résister à une gourmandise ou à une bourse remplie d'or.
  • Signe Distinctif : Lorsqu'elle est énervée, elle jure en espagnol et parle avec les mains.
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Luela Alfarez Segura
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MessageSujet: Re: Luela Alfarez Segura   Luela Alfarez Segura Icon_minitimeSam 18 Juil - 21:12

    Historique


  • Famille : La famille de Luela est installée en Andalousie depuis deux générations. Ce qui a valu durant plusieurs années des quolibets et des moqueries de la part des Gitans : Quel affront à leurs origines que de s'établir durablement quelque part. Venant d'une branche des Latins voyageant entre l'Algérie et l'Espagne, le grand père de Luela tomba amoureux de l'Andalousie et y retourna lorsque ses vieux jours se firent sentir. Emportant avec lui son dernier fils, Nino qui venait d'épouser la gracieuse Rosita, ils s'installèrent près d'une demeure de Bourgeois, de riches propriétaires de Taureaux, fierté espagnole et signe d'une grande richesse.
    A la mort de Luis, Nino reprit les rennes de la modeste demeure, une ancienne grange aux trous béants dans le toit, inondée les jours de pluie, et caniculaire les journées de fort ensoleillement, si nombreux en Andalousie. Rosita venait d'enfanter son second enfant, un garçon aux traits marqués, le portrait craché de son père, et l'opposé de son frère ainé, qui portait le même prénom que son grand père.
    Après son accouchement, Rosita fut repérée par le Cortijo qui lui proposa de devenir femme de chambre de sa femme. L'argent manquait, et Rosita imposa dès lors la vie sédentaire, malgré les volontés de Nino, d'un jour repartir sur les routes. Une fille naquit un an plus tard, Suzanna, suivie de près par un gros bébé, Manolo, puis par la petite Luela.
  • Enfance : Née dans une famille déjà nombreuse, Luela dut se faire une place autour de ses frères et soeurs. Sa grand mère l'éleva plus que sa mère, celle-ci ayant beaucoup à faire chez le Cortijo, et le retour de Rosita laissait entendre qu'un nouveau bébé viendrait bientôt au monde... Sa toute petite enfance ne fut ni différente ni plus plaisante que celle de ses ainés, bien qu'elle soit aidée dans son évolution par sa grande soeur, Suzanna, qui prit très tôt son rôle de modèle au sérieux, jouant les petites mamans dès ces trois ou quatre ans. Les apprentissages de la vie succédèrent aux pleurs de nourrisson, Luela suivit rapidement sa mère dans son travail. Ce fut à cet instant de sa vie qu'elle découvrit le luxe... Le Propriétaire était un homme bedonnant et dégarni, sa peau noircie par les tâches de vieillesse, mais il ne devait pourtant n'avoir que quarante ans. Il avait dans l'oeil ce qui rend certains hommes concupiscent et vicieux, et il observait les deux petites, Suzanna et Luela, d'une façon qui faisait frissonner Rosita.
    Mais lorsqu'elle aidait sa mère à arranger la chambre de son épouse, Luela touchait avec délice la douceur des draps, s'émerveillait devant les atours de flanelle de la dame, admirait les bijoux, fascinée par les parures et les toilettes délicates. Elle était ébahies devant le faste de cette chambre, rêvant de s'y endormir, que tout ceci lui appartienne... Suzanna était plus timide, elle craignait cette richesse, n'osant trop y toucher, alors que sa petite soeur attrapait à pleines mains les tissus délicats, se faisant reprendre par sa mère.
    " Si tu salis quelque chose, je ne serais pas payée..." Cette phrase résonnait sans cesse dans la tête de la petite sans qu'elle ne semble la prendre au sérieux. Ce ne fut que lorsqu'elle assista à la remise de son 'salaire' par le Cortijo que Luela se rendit compte des pièces qui passaient dans les mains de sa mère. Tout cet argent... Une fortune pour elle, à peine de quoi nourrir sa famille, pour Rosita. Sitôt, elle fit bien plus attention aux objets de la Dame, et rangea avec soin chaque bibelot à sa place.
    Sa satisfaction fut grande lorsqu'elle reçu son premier sous. C'était une pièce à peine ronde, bosselée par les années, et on pouvait voir une trace de dent : quelqu'un avait voulu vérifier qu'elle était vraie, peut être... Mais Luela la reçu comme la plus belle des récompenses, un trésor inestimable ! Juste pour avoir recousu avec patience un bas de la Propriétaire... Elle imaginait déjà les fortunes qu'elle pourrait obtenir en travaillant bien plus.
    Mais il arriva que, lorsqu'elle entra dans la treizième année, Luela découvrit qu'il y avait des labeurs qui rapportaient bien plus... Pour avoir fait tomber un flacon de parfum sur le tapis, on refusa d'honorer le salaire de Rosita. Comment subvenir aux besoins d'une famille s'étant agrandie de trois enfants ? A moins que... Suzanna et Luela n'accepte quelques faveurs... L'imposant Cortijo proposa cette dégradante affaire à Rosita et Nino, tenir compagnie à une vieil homme, rien d'impossible, et pour beaucoup d'argent. De quoi s'offrir de la volaille et du pain durant deux semaines.

    Les disputent éclatèrent dans l'unique pièce de la petite grange, Luela et Suzanna assistèrent au déchirement de leurs parents, Nino refusait de vendre ses filles et Rosita argumentait, exposant la maigreur de son dernier né, souffrant de fièvre, les côtes trop visibles pour assurer sa prospérité jusqu'à l'âge de deux ans. Nino allait lever la main sur sa femme lorsque Luela intervint. Elle rassura son père, tout irait bien : il suffisait de dire oui pour avoir acheter du pain, pourquoi refuser alors que c'était si facile ?
    Savait-elle vraiment ce qu'elle venait d'accepter ? Sans doute non, mais Luela n'était pas idiote, et l'éducation lui avait apprit ce qui risquait de se passer. Elle ignorait simplement comme cela pouvait faire mal, et comme elle se sentirait honteuse, après les quelques heures passées avec le vieux Cortijo. Suzanna avait été forcée de la suivre, et ce fut pour elle une expérience des plus désastreuses. Elle reprocha toujours à sa soeur de l'avoir obligée à se donner à un homme, et, ne pouvant supporter son geste, souillée et meurtrie, elle quitta définitivement la famille. On ne revit plus jamais Suzanna, et ce ne fut que longtemps plus tard que Luela apprit qu'elle était morte en couche, donnant vie à un bâtard, lui aussi mort lors de cette épreuve.

  • Adolescence : Aussi l'adolescence commença-t-elle réellement à cet instant pour Luela. Sa virginité avait été offerte contre plusieurs pièces, et malgré la honte qu'elle avait ressenti après l'acte, écouter le sons de la monnaie que le Cortijo avait tendue à Nino le lendemain, était une très agréable sensation. Elle découvrit alors que sourire au Cortijo pouvait lui rapporter bien plus que blesser ses mains à recoudre les vêtements de son épouse, ou que briser son dos à laver les pavés de la Propriété. Même s'il n'était pas beau, que son ventre était flasque et que ses dents n'étaient pas toutes neuves, Luela passait outre ce que d'autres auraient appelé du dégoût. Pire, elle se dit alors qu'elle ne faisait que du bien à ce pauvre homme, trop vieux pour que sa femme accepte ses faveurs, et trop moche pour séduire une maîtresse... Elle eut pitié de lui sans doute, et son jeune âge la rendit naïve. Il la faisait demander de temps en temps, à peine une ou deux fois par mois, et lorsqu'elle comptait ce que cela lui rapportait, elle se demandait pourquoi les femmes choisissait de travailler si dur, alors que ceci était si facile.

    Au départ, Nino et Rosita n'en savaient rien, mais lorsqu'elle atteint 17 ans, une douleur au ventre la força à se livrer à sa mère. Elle avait des nausées, se sentait fiévreuse et faible, et la souffrance que produisait son ventre lui donnait des vertiges tant elle était aiguë. Rosita, qui avait l'expérience de ses huit enfants, blêmit devant ces aveux : sa fille était enceinte, et pire, le vieux Cortijo était le géniteur. Luela supplia sa mère de ne pas avertir son père, mais rien n'y fit, ni les pleurs ni les suppliques, Rosita était blessée des actes de sa propre fille, et Nino fut bien plus violent. Il frappa l'adolescente, la traitant de catin, déshonoré de sa conduite, elle avait entaché leur nom, si peu glorieux soit-il ! Il la banni, la reniant comme sa fille, elle et son rejeton impropre, et Luela fut mise dehors sans possibilité de s'excuser, sans que ses prières ne soient écoutées.

    Devant les regards honteux, apeurés et attristés de ses frères et soeurs, Luela s'enfuit, avec cependant pour seul bagage que les tribus offerts par le Cortijo. Assez pour montrer jusqu'à Madrid... Mais dans son ventre, grandissait l'enfant du vieux propriétaire, et cette grossesse se déroulait fort mal. Elle souffrait, vomissait et perdait connaissance. Mais surtout, elle n'avait aucune envie d'être mère, aucune envie d'enfanter... Comment élèverait-il un enfant, si jeune ? De passage à Toledo, sur la route vers Madrid, elle s'établit durant quelques jours dans une Auberge délabrée. Après plusieurs discussions avec l'Aubergiste, une femme bienveillante quoi qu'à l'hygiène douteuse, elle apprit qu'une dénommée Marcia pourrait retirer d'elle ce qui la rendait si fiévreuse... Le lendemain, dans cette miséreuse arrière salle de l'Auberge, la tenancière, Marcia et deux hommes accompagnaient Luela. Les deux hommes, le mari de Marcia, et celui de Carmen, l'Aubergiste, tenaient Luela par les bras, allongée sur une table en bois, jambes écartées... Carmen tenait une chandelle et Marcia opéra...

    La douleur lui fit perdre la tête, Luela hurla si fort que les rares clients préférèrent déguerpir. Marcia suait à grosses gouttes, autant que la jeune femme qui pleurait, regrettant désormais d'avoir choisi de se débarrasser de son enfant. Mais les choses se passèrent mal, Luela se débattit alors et un coup de pied violent fit dévier Marcia. Une vive douleur fit perdre connaissance à la petite Espagnole, et elle ne vit pas l'agitation autour de son corps meurtrit. Les deux hommes la redressèrent, Carmen apporta une bassine d'eau, Marcia priait entre ses dents et épongeait le sang... A son réveil, dans cette même arrière cuisine, au milieu des quartiers de boeufs et des volailles accrochées au plafond par des crochets, Luela découvrit combien les conséquences de certains actes peuvent être dévastatrices : son ventre était lacéré par la lame de Marcia, du flanc jusqu'à la hanche, elle avait perdu beaucoup de sang, et elle voyait devant ses yeux, des étoiles argentées scintiller.
    Mais Carmen s'était occupée d'elle comme elle pouvait, et malgré qu'elle n'ait aucune connaissance en médecine, elle avait essayer d'arranger la plaie comme elle pouvait... Mais elle en garderait une vilaine cicatrice, affreusement laide. Mais, la bonne nouvelle, gloussa l'Aubergiste, c'est qu'elle n'était plus enceinte...
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MessageSujet: Re: Luela Alfarez Segura   Luela Alfarez Segura Icon_minitimeSam 18 Juil - 21:43

File mauvaise fille !
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