Les Allées du Roi
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Intrigues et Complots dans les allées du Roi...
 
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 Thierry d'Armancourt

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Thierry d'Armancourt
Comte
Thierry d'Armancourt


Messages : 25
Date d'inscription : 09/08/2009

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Titre: Comte d'Armancourt, Baron de Soissons
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MessageSujet: Thierry d'Armancourt   Thierry d'Armancourt Icon_minitimeJeu 20 Aoû - 18:21

Identité


  • Nom : d’Armancourt
  • Prénom(s) : Thierry IIIème du nom
  • Sobriquet : /
  • Âge : 27 ans
  • Origine : France
  • Rang : Comte d’Armancourt, baron de Soissons
  • Profession: /
  • Parti : Parlementaire

    Physique


  • Yeux: Deux pupilles d’un noir de jais posées sur de blancs ovales… Un regard sincère, porté sur la bonne humeur que respire le comte. Ce même regard peut néanmoins se vouloir séducteur au possible, afin de conquérir le cœur d’une belle créature de la gente féminine. D’aucuns y liront parfois une lueur pétillante de malice, signe que cet homme est tout aussi conspirateur intriguant que galant de la Cour.

  • Cheveux : De couleur auburn, les cheveux épars du conte sont coupés à hauteur d’épaule.

  • Taille/Poids: D’une taille approximative de près de deux mètres pour quelques 175 livres, le comte Thierry fait figure de géant auprès de ses pairs.

  • Description physique : A le croiser au détour d’une rue, il est difficile de ne pas se retourner sur son passage. Un pas de cent soixante-quinze livres qui ébranle le sol, des cuisses comme des troncs de chêne, des poings comme des masses d’armes, un large poitrail pour lequel il faut plus d’air à respirer qu’au commun des hommes. Il suffit qu’il ait une dague au côté pou avoir la mine de s’en aller en guerre. Dès qu’il apparaît, tout semble autour de lui devenir faible, fragile, friable. Ce géant a vingt-sept ans.
    Cependant, si les hommes ont pour habitude de s’écarter devant la masse de ce colosse, les femmes, elles, ont plaisir à le voir passer, tant les traits de son visage semblent jurer avec le reste du corps. Car le comte est fort bel homme, et il le sait, usant sans vergogne de cet atout pour parvenir à ses fins. Outre ce regard qui, comme il l’a été dit, porte sur la séduction lorsque le doux parfum d’une donzelle se fait ressentir dans les parages, le comte Thierry a le nez droit, le menton délicat et la bouche fine, celle-ci néanmoins toute prête au rire et au manger. En effet, il n’est pas difficile de s’imaginer l’appétit d’ogre du comte à la vue de sa carrure.
    Quant aux vestements, le comte Thierry aime un habillement décontracté, loin de toutes ses incommodités imposées par la mode de la Cour qu’il qualifie de frivolités. Aussi doit-il se résoudre à porter pourpoints et chausses étriqués lors de ses déplacements à Paris. Une fois retrouvé les terres de son domaine, il revest une tenue plus sobre, de grandes bottes rouges, de cuir cordouan, un manteau suffisamment large pour couvrir un lit, une ample chemise où il se sent à l’aise.

  • Particularités : Une cicatrice lui barre le front, suite à une chute de cheval alors qu’il n’était âgé que de douze ans.
  • Signe distinctif : /

    Mental


  • Qualités : Un regard clair, un rire gai et une prompte parole. Le comte Thierry sait se montrer avenant pour qui n’a pas eu la sotte idée de l’offenser. Cette sempiternelle bonne humeur, il la tient sans doute des gens de sa Picardie natale. Là-bas, peu leur plaisent les silences du quidam, pour ce qu’ils ont appris à se méfier de l’homme qui se tait, comme du chien qui n’aboie pas. Seulement, mieux vaut ne pas tenter de chercher noise au comte. Car s’il est facilement porté au rire et à la plaisanterie, sa colère n’en est que plus terrible, et il est chose impressionnante que de le voir passer de son air réjoui à l’ire incommensurable.

  • Défauts : Seulement, à l’instar de tout être, de toute chose, il y a un revers à la médaille. Et à se pencher de plus près sur le cas du comte Thierry, il s’avère que, si les qualités, non négligeables, certes, se comptent sur les doigts de la main, les défauts, eux, sont légions. Ne citons en premier lieu que l’orgueil, un péché capital qui plus est. En effet, le comte est un homme fier. Fier de sa personne, fier de ses origines, fier tout simplement. Secondement, celui-ci n’agit que par intérêt. Toute entreprise n’est que le résultat de calculs visant à tirer un maximum de profits au passage. S’il semble faire preuve de bonté en rendant service, c’est sans doute qu’il aura estimé cela lui être favorable. Il n’y a que dans le péché de chair que le comte semble ne trouver un quelconque profit pécuniaire, si ce n’est son propre plaisir, un désir inassouvi de mâle en rut. Outre ces défauts qui jusque là ne rendent pas le comte plus mauvais qu’un autre, surtout parmi gens de la Cour, on notera la manière crue dont use Thierry d’Armancourt pour s’exprimer, bien loin de l’éloquence d’aucuns nobles dont chaque mot de chaque phrase semble avoir été travaillé au préalable avant de s’insérer parfaitement dans une syntaxe qui, au final, n’a plus de sens. Le comte s’est vu faire grince les dents de plus d’un lors d’assemblées de seigneurs, barons et nobles de son rang de par ses vulgaires familiarités. De plus, Thierry est un homme spontané qui n’hésitera pas à exprimer le fond de sa pensée sans détour, au risque de blesser sans pour autant l’avoir voulu.

  • Goûts, intérêts, passions : Comme tout bon noble qui se respecte, Thierry d’Armancourt a reçu une éduction qui sied à une personne de son rang. S’il maîtrise parfaitement toutes les subtilités de la langue latine, les rudiments de l’arithmétique, et la liste des monarques français qu’il fut obligé d’apprendre sous la férule d’un sévère moine précepteur, c’est à battre la campagne et traquer le gibier que le comte, juché sur son hongre dont il passe plus de temps à décrasser la robe que la boue de ses bottes, se sent le plus à l’aise. Outre ce passe-temps qu’est la chasse, la véritable passion du comte, c’est la traque. Mais point n’importe quelle traque ! Le gibier en est la gente féminine. Et de ce gibier-là, s’il ne peut en exposer la tête en trophée au-dessus de sa cheminée, c’est sous les draps de son lit qu’il fait la belle prisonnière de ses désirs. Plus le gibier est de haut lignage, plus le plaisir y est intense. Et jusqu’à ce jour, le comte Thierry peut se targuer de n’avoir que rarement manqué sa cible, tant celle-ci est attirée par le prédateur comme la limaille l’est de l’aimant. Cette passion, le comte lui-même ne sait d’où elle lui vient. A peine entré dans les vertes années de son adolescence qu’il avait déjà l’œil malicieux à contempler les formes rondes des femmes de la domesticité.

  • Particularités : /
  • Signe Distinctif : /


Dernière édition par Thierry d'Armancourt le Dim 20 Sep - 18:38, édité 2 fois
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Thierry d'Armancourt
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MessageSujet: Re: Thierry d'Armancourt   Thierry d'Armancourt Icon_minitimeJeu 20 Aoû - 18:22

Historique


    Vers le milieu de la nuit, deux cavaliers s’éloignèrent du château d’Armancourt. C’étaient Thierry d’Armancourt et son serviteur Miroul, à la fois valet, confident, compagnon d’armes et de route, et fidèle exécuteur de toutes besognes.
    Transfuge, pour quelque pendable raison, de la maison des comtes d’Eu, Miroul le Dolois, depuis que Thierry se l’était attaché, n’avait pratiquement pas quitté ce dernier d’une minute ni d’une semelle. C’était merveille que de voir ce petit homme rond, râblé et déjà grisonnant, s’inquiéter en toute occasion de son jeune géant de maître, et le suivre pas à pas pour le seconder en toute entreprise.
    Le jour se levait lorsque les deux cavaliers arrivèrent aux portes de Paris. Ils mirent au pas leurs chevaux fumants, et Miroul bâilla une bonne dizaine de fois. A cinquante ans passés, il résistait mieux qu’un jeune écuyer aux longues courses à cheval, mais le manque de sommeil l’accablait.
    Thierry d’Armancourt mit pied à terre et ordonna à Miroul de placer les montures en écurie le temps qu’il accomplisse ce pourquoi il était venu à Paris. Avant de le quitter, et de s’engager dans la rue Mauconseil où habitait sa cousine, Isabelle d’Eu, il lui dit :

    « Vois-tu, Miroul, je veux que cette chienne trop grasse entende son malheur de ma propre bouche. Voici un grand moment de plaisir, en ma vie, qui s’approche. Je veux voir la mauvaise gueule de ma cousine, lorsque je lui tiendrai le document sous les yeux. Et je veux la voir se trainer jusqu’au roi, braire devant sa Majesté, et qu’elle en crève de dépit. »
    Miroul bâilla un bon coup.

    « Elle crèvera, Monseigneur, elle crèvera, soyez-en sûr, vous faites bien tout ce qu’il faut pour cela », dit-il.

    Thierry atteignait l’imposant hôtel des comtes d’Eu.

    « N’est-ce point vilenie qu’elle soit à se goberger en ce gros logis que mon grand-père a fait bâtir ! pensa-t-il. C’est moi qui devrais y vivre ! »

    Il s’arrêta devant la porte d’entrée, saisit le heurtoir dont il frappa quelques coups à fendre la porte. Le battant clouté s’ouvrit, livrant passage à un gardien de belle taille, fort éveillé, et qui tenait à la main une masse grosse comme le bras. Thierry le poussa de côté et pénétra dans l’hôtel. Une dizaine de valets et de servantes s’affairaient au nettoyage matinal des couloirs et escaliers. Thierry, bousculant tout le monde, gagna l’étage des appartements. Un valet accourut, tout effaré.

    « Ma cousine, Picard ! Il me faut voir ma cousine dans l’instant.
    - Elle mange, Monseigneur.
    - Eh bien ! je n’en suis point dérangé ! Préviens-la de ma venue et fais vite ! »

    Isabelle, comtesse d’Eu, était une jeune femme fort belle, de deux ans plus jeune que son cousin. Elle avait le cheveu noir comme le jais et son regard l’était tout autant. Elle n’était pas très grande mais on la disait aussi belle que son cousin et celui-ci l’aurait bien prise en mariage pour peu qu’il n’eût pas toute cette rancœur à son encontre.
    Tous deux ne se parlaient à peine depuis de longs mois et ne se voyaient que par obligation, à la cour. Ce matin-là, assise devant une petite table dressée au pied de son lit, la comtesse mâchait, tranche après tranche, un pâté de lièvre qui constituait le début de son menu de réveil.

    « Vous voilà bien vif à l’aurore, mon cousin. Vous arrivez comme la tempête. A ce propos, avez-vous fait bonne traversée de mer ?
    - Exécrable, horrifique, répondit Thierry. Une tempête à rendre les tripes et l’âme. J’ai cru ma dernière heure venue, au point que je me suis mis à confesser mes péchés à Dieu. Par chance, il y en avait si grand nombre que le temps d’en dire la moitié, nous étions arrivés. J’en garde assez pour une prochaine fois. Mais passons, d’où vous vient cette bonne humeur à mon égard ? Voilà qui n’est pas chose familière.
    - Allons, mon bon cousin. Ne pouvons-nous pas oublier un temps ces querelles et nous côtoyer en bonne amitié ?
    - Ah ma chère cousine, ce n’est nullement pour vous conter mes heurs et malheurs quotidiens que je suis venu céans. »

    A ces mots, il sortit de sous son manteau une lettre cachetée, scellée par le sceau royal, et la plaça à côté de l’assiette à moitié vide. Isabelle la saisit et la parcourut brièvement, avant de la relire à plusieurs reprises. Thierry essaya de discerner un quelconque haussement de sourcils, une moue désapprobatrice, mais la belle Isabelle ne fit montre d’aucun état d’âme comme s’il s’était agi d’une simple lettre de recommandation. La lecture terminée, le replia la lettre et la tendit à un laquais d’un air indifférent.

    « Je me demande jusqu’à quel point vous avez dû graisser la pâte de Mazarin pour qu’il consente à rédiger une telle paperasse. Espériez-vous vraiment que j’allais signer en bonne et due forme un document qui vous octroierait le titre de comte d’Eu à ma place ? Je vous ai connu plus inventif dans vos tentatives de reprendre le comté, mon cousin. »

    Thierry tenta de contenir au mieux sa colère en serrant les poings à s’en couper la circulation du sang. Douze années de lutte acharnée, de procès perdus, de tentatives échouées pour reprendre le comté à feu sa tante. Et lorsqu’enfin cette dernière rendit l’âme, elle réussit à passer le titre à sa fille Isabelle, par un habile jeu de promesses faites au même Mazarin. Thierry n’en croyait toujours pas ses yeux. Cette fois-ci, il était sûr qu’il allait faire plier sa cousine.
    A la mort de son père, le comte Philippe II d’Eu, Thierry n’était alors âgé que de onze ans. C’est à la sœur de Philippe, Jeanne, que le titre revint. Thierry, trop jeune pour faire valoir ses droits en procès légal, dut se résigner. En lieu et place, Mazarin lui offrit le comté d’Armancourt comme un dédommagement. Thierry ne démordit cependant pas et tenta par tous les moyens de reprendre ce titre qu’il convoitait tant. Il fit saccager les récoltes produites par les paysans du comté, ordonna aux seigneurs d’Eu de se soulever contre la comtesse, mais rien n’y fit. C’était sans compter la force de caractère de sa tante qui avait l’énergie d’un homme de guerre et la ténacité d’un légiste. Et cette force de caractère, elle semblait l’avoir transmise dans les gênes de sa fille.
    A présent, Thierry se dirigea vers l’une de fenêtres de la chambre qui donnait sur une petite cours intérieure.

    « Je vous trouve vite résigné, Thierry. Que vous arrive-t-il ?
    - Ma foi, je crois qu’il faut savoir s’avouer vaincu et se retirer lorsqu’une cause est désespérée.
    - Que voilà de sages paroles. »

    Se levant, Isabelle rejoignit son cousin à la fenêtre. Des hommes s’activaient dans la cour autour d’un échafaudage. Des cris et des rires parvenaient jusqu’aux fenêtres du premier étage.

    « Eh bien ! dit Thierry, je constate qu’Edouard, votre mari, aime toujours autant la maçonnerie.
    - Il y a plus de trois ans qu’on a commencé de rebâtir la chapelle. Depuis que je suis mariée, je vis dans les truelles et le mortier. On ne cesse de défaire ce qu’on a fait le mois d’avant. Ce n’est pas la maçonnerie qu’il aime, ce sont les maçons ! Croyez-vous seulement qu’ils lui disent « Monseigneur » ? Ils l’appellent Edouard, ils le moquent, et lui s’en trouve ravi. Tenez, regardez-le ! »

    Dans la cour, Edouard donnait des ordres tout en s’appuyant à un jeune ouvrier qu’il tenait pas le cou. Il régnait autour de lui une familiarité suspecte. Ayant auprès d’elle un parent, Isabelle s’abandonnait à avouer ses peines et ses humiliations. En vérité, les mœurs d’Edouard étaient connues de toute la cour de France.
    A ce moment, Thierry toisa sa cousine de toute sa hauteur. Qu’elle était belle, la tête légèrement baissée, lorsqu’elle ne portait pas sur elle toute la fermeté dont elle usait si souvent à l’égard de son cousin. Thierry voulut la prendre céans. Posséder ce corps aux formes parfaites, la voir nue, le temps d’un instant où il la sentait plus ouverte que d’accoutumé. Mais il chassa aussitôt cette pensée de sa tête.

    « Il me faut à présent vous quitter, ma cousine.
    - Faites, mon cousin, faites. Nous nous reverrons certainement sous peu. »

    Le ton des basses complaisances avait reprit et sitôt avait-il franchi le seuil de la pièce que Thierry cogitait déjà à un nouveau plan en vue de reprendre le titre à sa belle cousine


  • Objectifs et possibles évolutions: Reprendre le titre de comte d’Eu à sa cousine, voilà qui devrait déjà occuper Thierry un bon bout de temps

    Hors Jeu


  • Pseudo: euh…
  • Autre(s) Personnage(s) (ici et/ou à la Cour des Miracles) ? Allons-y déjà avec un ^^
  • Comment avez-vous connu ce forum : Tour de jeu
  • Une suggestion: Non, non.

    PS: j'ai choisi d'écrire l'histoire de Thierry sous forme de rp en incluant par-ci par-là quelques éléments de sa vie. j'espère que cela conviendra


Dernière édition par Thierry d'Armancourt le Ven 21 Aoû - 16:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Thierry d'Armancourt   Thierry d'Armancourt Icon_minitimeJeu 20 Aoû - 19:05

Je vais lire ta fiche dans la soirée et te tenir au courant au plus tard demain Embarassed
Merci de ta patience ^^"
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MessageSujet: Re: Thierry d'Armancourt   Thierry d'Armancourt Icon_minitimeSam 22 Aoû - 10:37

Bienvenue en ces lieux vil Don juan...Tu as très bien cerné le comte ...Tu peux commencer "ta chasse"...
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MessageSujet: Re: Thierry d'Armancourt   Thierry d'Armancourt Icon_minitime

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